Nouveauté
Avec les pleins pouvoirs, le Grazziator gère comme il l’entend – et donc sans pitié pour son bon plaisir – la vie des citoyens. Quand il meurt, un autre lui succède, parfois pire, rarement meilleur. Et si, pour une fois, par un hasard incongru, un homme du peuple prenait sa place ? Pourrait-il rendre les gens heureux ? Le pouvoir lui tournerait-il la tête ?
Une fable cyniquement drôle et cruellement réaliste, écrite en alexandrins contemporains.